Les professionnels d’ESAT doivent rédiger de nombreux documents dans des délais parfois très courts : comptes rendus, évaluations, rapports, bilans, projets, fiches d’incident… Les enjeux autour de ces écrits sont forts, aussi bien pour les professionnels, les travailleurs ou l’institution.
Mais face à la charge de travail en ESAT et aux exigences relatives aux écrits, les professionnels se retrouvent souvent en difficulté face à l’écrit. De ce fait, des règles d’écriture communes s’imposent pour faciliter la rédaction, gagner en efficacité, respecter le cadre règlementaire et pour répondre aux nouvelles normes de co-construction et de traçabilité.
Cette formation concrète et interactive permet de décomplexer et de dédramatiser le rapport à l’écrit. Elle s’appuie sur les écrits utilisés dans les ESAT. Elle redonne du sens aux écrits afin de mettre en valeur la qualité et l’éthique plutôt que la quantité.
Aucun.
Quelle place pour les écrits en ESAT : enjeux, fonctions et difficultés ; Cadre légal, recommandations de bonnes pratiques et responsabilités du professionnel vis-à-vis de ses écrits ; Le fond, la forme, les objectifs et les destinataires ; Les stratégies de rédaction et comment gagner du temps ; Améliorer et évaluer ses écrits en 10 critères.
Les méthodes de rédaction et d’argumentation selon les différents types d’écrits ; Textes ou tableaux : les choix pertinents ; Observation, objectivité et distanciation ; Le choix des mots et le jargon ; Comment solliciter, impliquer et valoriser le travailleur dans une logique de co-construction ; Partage d’informations, éthique et engagement professionnel : ce que je peux dire, écrire, ne pas dire, ne pas écrire ? ; Ecrits internes et écrits à usage externe ; Les écrits à l’ère du numérique.
L’accessibilité des écrits ; Projet d’établissement, projets d’ateliers, projets personnalisés : quelles déclinaisons ? ; Quelles techniques pour rédiger des projets personnalisés clairs et opérationnels ; Le recueil des besoins et la formalisation des objectifs ; Les moyens et les indicateurs d’évaluation ; Grilles, outils de suivi et traçabilité ; L’évaluation des projets et la rédaction des bilans ; Les écrits sensibles.